Depuis 2021, la législation impose aux professionnels de santé et de la maintenance technique d’intégrer l’économie circulaire dans leurs prestations. Cela concerne en particulier les réparateurs d’aides techniques comme les fauteuils roulants, scooters médicaux ou soulève-malades. Quelles pièces sont concernées ? Quelles obligations déclaratives ? Et comment rester conforme aux exigences légales tout en garantissant la sécurité du patient ? Voici les réponses.
1. L’obligation de proposer des pièces issues de l’économie circulaire. La loi oblige les réparateurs à proposer des pièces détachées issues de l’économie circulaire dès lors qu’elles sont disponibles et qu’elles ne nuisent ni à la sécurité ni à la destination du produit (Décret 2021-1683). Cela concerne notamment :
2. Une information claire et obligatoire au client. Le décret 2022-59 vient renforcer le devoir de transparence. Il impose :
3. Le rôle central de la traçabilité et de la désinfection. Pour être conforme, chaque pièce issue de l’économie circulaire doit :
4. LUERIS : l’allié conformité des réparateurs. Les laveurs-désinfecteurs de LUERIS sont conçus pour accompagner les réparateurs dans la mise en œuvre concrète des obligations légales. En automatisant ces aspects, LUERIS permet aux professionnels de se concentrer sur l’essentiel : la qualité du service rendu. L’économie circulaire dans le domaine médical n’est plus une option mais une exigence réglementaire. Grâce à des outils comme les laveurs-désinfecteurs de LUERIS, les réparateurs peuvent répondre aux obligations légales tout en assurant un haut niveau de sécurité et de transparence. Un atout pour le patient… et pour la réputation du professionnel. Les commentaires sont fermés.
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AuteurArticles rédigés par les équipes européennes de Rehawash, d'après leurs experiences chez nos clients. Archives
Avril 2025
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